Entre 2 villes côtières, il n'y a que le désert. Pourtant nous trouvons sans problème restaurants et hôtels.
Toujours avec un sympathique vent dans le dos, nous arrivons à Nazca. Depuis Arequipa nous avons roulé plus de 500 km et une pause est nécessaire.

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Beignet au miel dans les rues de Chala.

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La plage de Chala. Les touristes sont rares.

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Yauca. Une oasis d'oliviers et les meilleures olives au monde.

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Pélican au Puerto de Lomas.

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Lever du soleil. Départ à l'aurore pour profiter de la fraîcheur.

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Les péruviens exagèrent parfois : en fait, la route ne montait pas autant que peut le laisser croire le panneau.

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Une des fameuses figures de Nazca aperçue au détour d'un trottoir.

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Josée veut voir d'autres figures…

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... elle saute dans un avion…

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... et découvre que les dessins des trottoirs de la ville sont tracés en mille fois plus grand dans le désert !


       
A gauche l'océan, à droite le désert. Vent dans le dos, température idéale et des vues magnifiques à chaque virage.

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Ocona.

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La Planchada. La plage de sable noir.

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Peu de voitures mais beaucoup de camions.

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Le désert s'étend jusqu'à l'océan.

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Les dunes mangent le macadam.

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Encore une dune.

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Atico. Ville balnéaire (paraît-il !).


       
Nous Quittons Arequipa avec un peu de regret. Dès les premiers kilomètres hors de la ville nous changeons de décor; après des semaines passées sur l'altiplano nous nous retrouvons dans le "vrai désert" : sec et chaud.
La descente vers le Pacifique est plutôt sympa : 2600 m de dénivelé à faire sur 2 jours. Qui a dit que le vélo c'est dur ?

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La végétation a totalement disparue. Pas même un cactus à l'horizon.

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Nous sommes sur la route Panaméricaine et la circulation n'est pas bien dense.

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Oasis en vue.

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Nada.

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Grandes lignes droites qui passent bien lorsque le vent est favorable.

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L'océan Pacifique.

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Fini la montagne. Nous devrions longer l'océan jusqu'en Equateur.


       
Trois jours de détente à Arequipa. Ville superbe et climat idéal.
Petite remise en état des vélos avant de nous diriger vers la côte Pacifique.

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La ville historique est construite en pierres blanches volcaniques.

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Beau sourire vieux de plus de 500 ans. Les Incas faisaient des sacrifices humains pour amadouer les nombreux volcans de leur royaume.

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Manifestation bon enfant devant le siège du gouvernement local.

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Service d'ordre conséquent…

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... et très féminin comme vous pouvez le voir sur les photos qui suivent.

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Belle journée dans le canyon de Colca : 56 km dont 30 de piste, 2 condors, 3 touristes et des paysages à couper le souffle !
De Cabanaconde, nous prenons un bus. Six heures et un lumbago plus tard nous arrivons à Arequipa.
Fini l'altiplano; à 2500 m d'altitude les températures sont enfin douces et nous ressortons les shorts.

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Entrée du canyon du Rio Colca à Chivay.

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Photo récupérée sur Internet.
Les 2 seuls condors que nous avons vus sont passés trop vite : pas le temps de degainer l'appareil photo !

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En attendant les condors...

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... et "El condor pasa" ! Enfin !
Inutile de vous préciser que cette photo n'a pas été empruntée à Internet.

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Cabanaconde.

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6h30, le bus pour Arequipa va partir avec une centaine de passagers à bord.

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Petit déj' bien français dans un salon de thé d'Arequipa. En prime, les médocs pour soigner le lumbago de Jean-Robert.

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Arequipa : la plaza de Armas et la cathédrale.


       
A partir d'Espinar nous prenons le bus pour Chivay pour éviter plusieurs étapes trop difficiles (pistes, cols à 4500 m, peu de villes).
Une journée de repos à Chivay pour profiter des thermes naturelles.
Pour la Saint-Valentin, nous nous offrons l'ascension du col de Patapampa à 4900 m d'altitude, plus haut que le Mont-Blanc ! Ce doit être le col routier goudronné le plus haut au monde.

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Trajet Espinar / Chivay en bus.

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Balade autour de Chivay, vers le village de Coporaque.

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Chivay - Les thermes de Calera.

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Profil altimétrique de la route du col de Patapampa. Ascension depuisChivay.

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Dans l'ascension du col de Patapampa.

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Le col de Patapampa. Notre cadeau de Saint-Valentin.

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Sur la carte, le col n'est qu'à 4875 m d'altitude.